Benchmarking - Qu'est-ce que le benchmarking ?
Le terme anglais "benchmark" signifiant "point de repère", le benchmarking peut être traduit en marketing comme une "analyse comparative".
Le benchmarking désigne le processus d'analyse des pratiques des leaders du marché, afin d'améliorer ses propres performances par rapport à la concurrence.
Gérez votre facturation avec SumUp Factures, notre logiciel de facturation intuitif.
Voyons sans plus attendre ce qui se cache derrière cet outil d'auto-amélioration.
En quoi consiste le benchmarking ?
Le benchmarking est une méthode comparative, portant généralement sur un produit ou un service spécifique, permettant aux entreprises de savoir comment elles performent les unes par rapport aux autres.
Selon la définition proposée par feu David T. Kearns (alors PDG de Xerox Corporation, leader mondial de la fabrication d'imprimantes),
En résumé, le benchmarking consiste à s'inspirer des meilleurs acteurs du secteur et à adapter leurs méthodes et stratégies, dans le cadre de la légalité.
Il est par exemple possible d'emprunter à une autre société de meilleures pratiques en matière de service client.
Les objectifs du benchmarking
Nous évoluons dans un monde extrêmement compétitif et dans lequel les entreprises doivent en permanence analyser la façon dont elles évoluent par rapport à ce qui se fait de mieux sur le marché. L'objectif peut être de s'améliorer en termes de :
Niveau de qualité : la valeur générée à partir d'un produit, en prenant en compte son prix et les coûts nécessaires à sa fabrication et à sa vente.
Productivité : les entreprises comparent ce qu'elles produisent et celles qu'elles dépensent pour obtenir cette quantité, avec pour objectif de comparer l'efficacité des process.
Les types de benchmarking
Nous allons analyser 3 différents types de benchmarking :
Interne : utilisé habituellement dans les grandes entreprises composées de nombreux départements et/ou divisions, et permet de comparer les pratiques appliquées par différents services d'une même structure.
Compétitif : utilisé en cas de concurrence agressive, il permet de comparer l'entreprise à ses concurrents les plus directs ou aux leaders du marché, sur un produit spécifique. En principe, c'est le type de benchmarking le plus compliqué à orchestrer du fait du peu d'informations dévoilées par les entreprises sur leurs procédés.
Fonctionnel : il consiste à se comparer avec des entreprises qui n'appartiennent pas au même secteur d'activité ; l'idée étant d'obtenir plus facilement l'information nécessaire, en ne se présentant pas comme un concurrent de l'entreprise visée.